• Ces dernier temps je n'écris presque que des dialogues, alors dites moi si cela vous plait !^0~*

    Musique ?

      

    Savoir est important

     

    -Ou es-tu ?

    -Je suis perdu.

    -Ce n'est pas ce que j’attendais.

    -Je ne sais pas.

    -Même chose.

    -Mais que voulez vous que je vous dise ? Je suis là ou ici, mais est-ce vraiment important ?

    -Cela dépend pour qui.

    -Et pour vous ?

    -Non.

    -Alors pourquoi me poser cette question ?

    -Ta réponse m'importe peu, mais c'est pour toi qu'elle est capital.

    -Je ne comprend pas.

    -Dommage car il va le falloir dans 15 secondes.

    -Attendez ! J'ai besoin de vous !

    -Oh non, tu n'as juste pas assez confiance en toi, mais ça viendra, il faut être patient. Sauf que le temps nous manque. Bonne chance Tim, tache de rester en vie.


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  •  Une musique ?

     

    La défensive

     

    Reposant mon gloss, je me regardais enfin dans le miroir. J'étais belle. Vraiment. Mais n'était-ce que grâce à mon maquillage ? Celui qui me masquais, qui me protégeais. J'avais plus confiance en moi maintenant que j'avais enfilé mon armure. J'étais prête à partir à la bataille. Pourquoi je pense que la vie est une guerre? Facile. Tout le monde veux plaire, réussir, être le meilleur et attirer toute l'intention. Qu'ils y aille des gens pour vous suivre dans vos folies. Pour vous pleurer sur votre tombe. Tous veule êtres celle qu'on remarque, qu'on se retourne en la croisant, celle admirée, la bonne.

    Allait-il m'appréciez ? Surement plus que quand j'étais nue, sans arme. Mais un jour ils découveront, en enlevant toutes trace de mon masque, celle que je suis. Juste une laide petite fille. Mais voilà, j'aimerai que ça n'arrive jamais, qu'ils me croient toujours irréprochable. Impénétrable. Mais chaque cuirasse à une faiblesse, pourvu qu'ils ne trouvent point la mienne.


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  •  

    Entre elle et nous

    -Pourquoi suis-je toi ?

    -Je pourrais te poser la même question.

    -je ne veux pas être cette personne.

    -Moi non plus.

    -Alors laisse moi prendre les commandes, je te dirigerais dans le bon sens.

    -Non je veux le faire !

    -Surement pas. Et même si je n'étais pas contre, je ne pourrais pas.

    -Pareil pour moi.

    -Que faire ? Nous n'allons pas te regarder te détruire.

    -Et si on l'appelait plutôt "elle" que la mettre sur notre dos, chacun à notre tour ?

    -Bonne idée, alors toi, enfin elle...on doit l'aider.

    -Bien mais comment ?

    -Je n'en ai aucune idée.

    -....Et si on la laissait faire.

    -Tu veux sa mort ?

    -Non. Juste qu'elle face ces propres choix, seule.

    -Et si elle n'y arrive pas, si ça lui fait trop mal ?

    "Je me relèverais de moi même et briserais le cocon que vous m'avez construit en mille morceaux. Alors vous serez obliger d'admettre que j'existe !"


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  •  

     

    une petite musique pour accompagner: 

    Pourquoi.....

     

     

    -Pourquoi ?

    -Pourquoi quoi ?

    -Pourquoi moi ?

    -Pourquoi quelqu'un d'autre ?

    -Pourquoi ici ?

    -Pourquoi pas ?

    -Pourquoi aujourd'hui ?

    -Pourquoi retarder ?

    -Pourquoi ?

    -Oh non, je ne vais pas te sortir que c'est ta destinée ou une autre absurdité. Tu ne vas ni sauver le monde, ni épargner des victimes. Tu dois juste le faire pour toi.

    -Et si je ne veux pas ?

    -Tu le voudras tôt au tard.

    -Comment peux-tu en être aussi sûr ?

    Elle se rapprocha de mon visage et plongea son regard dans le mien. Il n'était ni froid, ni chaleureux. Aucune émotion ne s'en dégageait. Simplement neutre, se qui me donnait la chaire de poule.

    -Car je suis plus toi que tu ne l'es.

    Je m'écarta d'elle soudainement.

    -Que dis-tu ?

    -Ce que je dis.

    -Qu'as tu dis à l'instant ?

    -Tu m'as parfaitement comprise.

    -Oui mais je ne te crois pas.

    -Peut m'importe que tu me croies ou non, je n'en n'ai que faire.

    -Attends ! Ne pars pas !

    -Tu me donnes des ordres maintenant. Les rôles on bien été échangés.

    -S'il te plait, je veux comprendre.

    -A quoi cela te servira ? Ah oui ! Donner un sens. Pourquoi toutes choses en auraient ?

    -Car sinon elle ne devrait pas exister.

    -Tu me demandes de te tuer sur le champs ?

    -J'ai un sens moi !

    -Ah bon ? Je serais curieuse de savoir lequel.

    -D'obéir à tes ordres.

    -Donc plus question de dire "non" ?

    -...Et bien...

    -Voilà. Pourquoi avoir besoin d'une raison ? Tu ne vis que grâce à ça. Tu dois t'inventer des multiples excuses pour agir comme ceci ou juger comme cela. Et si je te retirais tous ces prétextes, que resterait-t-il ?


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  •  

    Adapté de la série "Heros" :

     

    Briser la glace

     

     

     

    C'était la pleine lune. Mon fils avait laisser derrière lui, après notre départ précipité, son télescope grand format. J'ai bien fait de l'envoyé cher Maria, elle s'occupera bien de lui le temps que je rembourse ma date. Je le pris et commençai à regarder par sa lunette : elle était grande et ronde, simplement éblouissante -ce qui me rappelais qu'elle point je lui était inférieur tant par sa pureté que par sa noblesse.

    Je laissai échapper un sanglot intérieur et allai repartir à mes activités quand un bruit se fit entendre, il provenait de la cuisine. Je resserrai mon étreinte et me préparai à me défendre avec ce jouet ridicule. J'entrevis un dos à travers l'encadrement de la porte, grand et large, je me demandais bien comment il a pu passer par celle-ci. J'allai faire un pas dans l'autre pièce quand un autre homme, cacher par la commode du couloir, me plaqua un main sur ma bouche -qui soit dit en passant m'écrasait le visage- et l'autre m'attrapa les cheveux.

    -Viens on à pleins de choses à se dire !

     

    Et il m'entraina dans le garage suivis de près par son acolyte. Il me projeta sur mon canapé qui me servait de lit.

    - Alors Niki, ou sont les 50 000 dollars que tu nous dois ? Me demanda le plus jeune.

    - 50 000 ?! Mais c'était 20 000 crétin !

    Il secoua la tête :

    - Non, dans un contra il faut lire toute la feuille, surtout les minuscules écriture toute à la fin...

    Je les regardais tour à tour, qu'elle belle bande d'enfoirer !

    -Mais..Mais j'ai un enfant, il n'a plus que moi, me défendis-je.

    -Oh Niki, on est au courant de ton boulot, me dit-il pourvu d'un regard de pitié et de méprit, Je crois que c'est 40 un quart d'heure.. tu n'as qu'a travailler un peu et on avisera...

    Le gros lourd était en train d'allumer la caméra.

    - Aller, desap' toi, on regard, conclut-il.

    Je les détestais, non, plus, je les haïssais de tout mon âmes, j'aurai voulu qu'ils crèvent ici même, à mes pieds.

    Je jeta mon gilet et commença à déboutonner ma chemise. Oh j'aurai voulu qu'il me supplie de les achever après les avoir torturer pendant des heures. J'aurai voulu voir dans leurs visages de la peur, des sanglots, des regrets. Je regardais mon reflet dans la glace : Jeune, jolie, j'avais tout pour plaire, j'aurai du me marié avec un homme riche et avoir une vie merveilleuse, mais il à fallu que je joue avec le feu. Je m'en suis bruler les mains. Mais cela n'avait plus vraiment d'importance...

    - Hé ! Qu'est-ce que tu fais ?!

    Sa voix était lointaine...Je ne pensais qu'a mon reflet, il me captivait. Il aurait du être identique à tout point mais quelque chose clochait.

    -Pourquoi tu t'es arrêter ?!

    Il était moi, des cheveux blond bouclé, un corps fin, des membres souples, mais ce visage...que signifiait ce sourire ?

    - Tu vas te réveiller oui !! Cria-t-il en me frappant au visage.

                                                                                    *                                             *

    En me réveillant, c'était comme si je sortais d'un agréable rêve. Sauf que j'aurai voulu y rester.

    Le garage était ravagé, et une odeur nauséabonde flottait dans l'air. Je trouva la source rapidement : le jeune était allonger à coté de moi, avec la tête complètement déchiquetée, comme si un guépard était passer par là. Le second était à mes pieds, des morceau de bois planter dans tout son corps. Je me releva en sursaut et ma première idée se fut la fuite, sauf quand j’aperçus mon reflet.

    Je savais maintenant que cette personne était différente, elle était couverte de sang. Un de ces doigt alla contre sa bouche, en signe de silence et un sourire sadique ce dessina sur ces lèvre. Ou bien les miennes.

    Je hurla, et quand le miroir ce brisa, ce fut de même pour moi.


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  • Des complexes ?

      suivant le tempo du groupe, j'essayais de coordonner mes pas avec ceux des autres coureurs mais mes jambes étaient pourvu d'une musculature plus développée que la plupart des jeunes de mon ages se qui me permettais de les dépasser sans aucun effort. Est-cela la vie d'une taille démesuré, de toujours regarder les personnes de hauts, de voir plus de cuire cheveux, à l’allure pelliculeuse, que de yeux ? N'aurais-je jamais besoin de me mettre sur la pointe des pieds pour atteindre les joues de mon interlocuteur ? Serais-je obliger de supporter toujours les même exclamations ? Cela n'a aucun sens de s'exclamer sur une hauteur ! Une couleur de cheveux, des fringues, un téléphone, je comprendrais parfaitement mais qu'est-ce qu'il y a d'étonnant d'être grand , ce n'es pas comme si j'avais demander de dépasser les adultes à 14ans.  C'est plus une contrainte qu'autre chose...


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