• Maudit humain !

     

    Suivant mon propre chemin, ma ligne, mon départ, mon arriver, mon tracé, mon but. Je remplie mon objectif, celui que je suis la seule à mettre fixée, sans que quelqu'un m'aille souffler. Je suis libre de le perfectionnaliser, de le modeler au fil des temps, ce qui me laisse croire que je vis pour accomplir une quête, qui s’avéra  invisible. Je préfère bien me mentir que de l'avoué. Il nous faut quelque chose pour se dire : "J'ai de l'importance". 

    Mais nous savons tous parfaitement que c'est totalement faux. Qui ne sait jamais remit en question ? Qui c'est creuser la cervelle pour trouver cette idée qui nous laisserai croire que nous sommes ici, ou là pour faire, crée, réparer, recoller...

    Qui osera briser le mécanisme infernale qui nous lie a rester en vie pour notre propre volonté ?

     

    -j'ai écris ce texte sur un coup de tête, une chanson et hop des mots on dépasser ma penser et il falait que je les marque après je comprend que se ne soit de la qualité...-


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  • Est-ce si facile d'enlever la vie?

    "J'ai des raisons de l'achever mais sont-elles suffisantes?" Me demandais-je quand son regard trouva le mien. Il avait deux jolies émeraudes qui me suppliaient en silence tandis que ma lame sur sa gorge ne demandais qu'a lui tailler son coup blanc. Étais je capable de tuer un si petit être? Et pourquoi était-il ma seul proie à qui j'accordais un soupons d'attention? Pourquoi avait-il le droit à un châtiment différents des autres? Était ce dut  à son jeune âge? J’essayais de faire disparaître mes questions, en vain malheureusement. Mes sales pattes n'arrivaient mêmes plus à tenir l'arme correctement tellement elles tremblaient. Je la jeta dans la pièce et décida de terminer le travail à main nues. Pendant que l'enfant agonisait sous ma féroce étreinte, étrangement les larmes commencèrent à me piquer les yeux. Tandis que ma victime crachait le sang qui lui débordait de sa bouche, l'eau salée coulait abondamment sur mon visage de meurtrière. C'est au bord de la mort qu'il caressa mon visage en me disant d'une voix calme:
    -N'ai pas peur."

    Je le relâcha directement et fuit un bon en arrière comme si il m'avait brulé. Pourquoi n'arrivait-je pas à le tuer? Je n'avais plus qu'a l'étrangler, une dernière fois, ça ne sera pas long, et je recevrai mon argent. Et j’oublierai tout. Comme j'ai toujours fait.

    Au moment où je me reprochai de lui, une question apparût devant mes yeux:

    "Ma vie passe telle avant la sienne?"

                                                                                          


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  • Tourment

     

     

    Tout en moi voulait me voir muet mais pourtant des sons sortait de ma bouche. Je disait des mots, des paroles qui n'étaient pas mienne. J'aurais voulu oh oui j'aurai voulu les effacer ou au moins arrêter de parler mais voilà...une énergie surpuissante me contrôlait . J'aurais du m'arracher la langue ou juste me délivrer mais j'étais beaucoup trop faible. Je me détestais. J'aurais du le faire cesser...j'en était incapable, j'étais un incapable.

    Je l’avais imaginer, rêver et elle c'est emparer de moi avec t'en de faciliter. 

    Ma haine.


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  •  

     

    enfermé

     Il faisait froid. Le sol et les murs étaient glissant. Je me tenais dans le coin le plus reculer de la porte. Mes jambes plaqué contre ma poitrine, j'écoutais minutieusement les moindres bruits.

     J'avais peur.

    J'aurais tant voulut voir Charles m'ouvrant la porte en disant " aller viens, il reste une par de gâteau" ou même les deux petits diablotins qui me cassent toujours les oreilles. Mais le silence régnait.

    J'avais peur.

    Enfermée dans penderie, je regardais le noir qui m'entourait. Il m’emmenait dans un monde sans fin: le rêve. Non, il fallait que je reste éveillée. Si il me voyais comme ça ! C'est encore une de l'heure affreuses blagues. Il faut absolument que je sorte mais...

    J'avais peur.

    J'attendis longtemps, très longtemps...Quand enfin de la lumière apparut. J'ouvris lentement mes yeux aveuglé. Une voix déclara:

    " il en reste encore une"

    Une main m'attrapa le bras et me sortit de la pièce. La seul couleur que je vis était le rouge. Le sol en était taché...

     

    Pour vous, que cet-il passer ?

    seule gagnante pour le moment : pipoupapillon !

    Nouveau : pour ceux ou celles qui désirerait finir l'histoire à leur façon c'est : ICI


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