• J'ai enfin pris l'initiative de faire une nouvelle signature - car on ne peut pas dire que l’ancienne était travailler-.

    La voici :

    Signature

    Je ne peut rien dire dessus à part que je ferais fuir un titan...


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    L'enfant se promenait parmi les fougères ,sans même savoir où elle allait, quand elle aperçue son reflet. Alice observa longuement la petite fille face à elle sans pouvoir distinguer de différences entre elle et elle.
    "-Je m'appelle Alice, dit celle-ci, et toi qui est tu?
    -Je suis moi aussi Alyce.
    -Ce n'est pas possible puisque c'est moi Alice.
    -Je suis autant Alyce que toi tu pourrais l'être.
    -Il ne peut y avoir plusieurs Alice!
    -Bien sûr que si, souvent autant de copie son disponible, mais d'après toi qui est la vrai Alice?
    -Je ne sais pas, dit l'enfant.
    Son double parti dans un fou rire suraigüe.
    -Si tu ne sais pas aujourd'hui, tu ne sauras surement jamais.
    -Bien sûr que non je saurais un jour!
    -Tu n'as donc pas encore vraiment compris les paroles du Chapelier. Je mérite bien plus que toi d'être Alice!
    -Donc tu ne l'est pas?
    -Je ne le suis pas encore.
    -Et quand le seras-tu?
    -Je ne sais pas.
    -Tu vois toi aussi tu ne sais pas!
    -Parce qu'être Alice n'est pas une chose que l'ont peu définir. 
    -Alors comment sais-tu que tu mérite mieux d'être Alice que moi? Alice est pourtant mon nom.
    -Je le sais voilà tout. Et ton nom ne définira jamais qui tu es, tu pourrais bien être Alice ou une autre, mais puisque tu ignore qui tu es, je peux toujours rester Alice et toi prendre un autre rôle.
    -Je n'ai pas besoin de rôle puisque je suis Alice!
    -En est-tu bien certaine?
    -Je n'ai pas besoin d'être sûr de l'être puisque c'est moi Alice.
     
    Après qu'Alice aille prononcé cette phrase Alyce demanda:
    -Mais Alors qui est Alice?"

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  • Tim Burton revisite le conte imaginaire "Alice au Pays des Merveilles" © Walt Disney Studios Motion Pictures France

    "-Cela fait combien de temps que nous buvons du thé Chapelier?

    -Un bon bout de temps, répondit-il.

    -Attendons-nous quelqu'un?

    -Peu être bien.

    L'enfant posa sa tasse et laissa son esprit vagabonder.

    -Je m'ennuie, ce plaignit-elle.

    -Tu n'est pas obliger de rester.

    -Et toi, pourquoi reste-tu ici?

    -Pourquoi faudrait-il y avoir une raison? Demanda l'homme au chapeau.

    -Sinon cela n'a plus aucun sens! Déclara Alice en se levant.

    -Tu sais ce monde n'en a pas forcément un.

    La petite fille réfléchit et finit par interroger le Chapelier:

    -Mais alors si le monde n'a absolument aucun sens, qui nous empêche d'en inventer un ?"


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    Adapté de la série "Heros" :

     

    Briser la glace

     

     

     

    C'était la pleine lune. Mon fils avait laisser derrière lui, après notre départ précipité, son télescope grand format. J'ai bien fait de l'envoyé cher Maria, elle s'occupera bien de lui le temps que je rembourse ma date. Je le pris et commençai à regarder par sa lunette : elle était grande et ronde, simplement éblouissante -ce qui me rappelais qu'elle point je lui était inférieur tant par sa pureté que par sa noblesse.

    Je laissai échapper un sanglot intérieur et allai repartir à mes activités quand un bruit se fit entendre, il provenait de la cuisine. Je resserrai mon étreinte et me préparai à me défendre avec ce jouet ridicule. J'entrevis un dos à travers l'encadrement de la porte, grand et large, je me demandais bien comment il a pu passer par celle-ci. J'allai faire un pas dans l'autre pièce quand un autre homme, cacher par la commode du couloir, me plaqua un main sur ma bouche -qui soit dit en passant m'écrasait le visage- et l'autre m'attrapa les cheveux.

    -Viens on à pleins de choses à se dire !

     

    Et il m'entraina dans le garage suivis de près par son acolyte. Il me projeta sur mon canapé qui me servait de lit.

    - Alors Niki, ou sont les 50 000 dollars que tu nous dois ? Me demanda le plus jeune.

    - 50 000 ?! Mais c'était 20 000 crétin !

    Il secoua la tête :

    - Non, dans un contra il faut lire toute la feuille, surtout les minuscules écriture toute à la fin...

    Je les regardais tour à tour, qu'elle belle bande d'enfoirer !

    -Mais..Mais j'ai un enfant, il n'a plus que moi, me défendis-je.

    -Oh Niki, on est au courant de ton boulot, me dit-il pourvu d'un regard de pitié et de méprit, Je crois que c'est 40 un quart d'heure.. tu n'as qu'a travailler un peu et on avisera...

    Le gros lourd était en train d'allumer la caméra.

    - Aller, desap' toi, on regard, conclut-il.

    Je les détestais, non, plus, je les haïssais de tout mon âmes, j'aurai voulu qu'ils crèvent ici même, à mes pieds.

    Je jeta mon gilet et commença à déboutonner ma chemise. Oh j'aurai voulu qu'il me supplie de les achever après les avoir torturer pendant des heures. J'aurai voulu voir dans leurs visages de la peur, des sanglots, des regrets. Je regardais mon reflet dans la glace : Jeune, jolie, j'avais tout pour plaire, j'aurai du me marié avec un homme riche et avoir une vie merveilleuse, mais il à fallu que je joue avec le feu. Je m'en suis bruler les mains. Mais cela n'avait plus vraiment d'importance...

    - Hé ! Qu'est-ce que tu fais ?!

    Sa voix était lointaine...Je ne pensais qu'a mon reflet, il me captivait. Il aurait du être identique à tout point mais quelque chose clochait.

    -Pourquoi tu t'es arrêter ?!

    Il était moi, des cheveux blond bouclé, un corps fin, des membres souples, mais ce visage...que signifiait ce sourire ?

    - Tu vas te réveiller oui !! Cria-t-il en me frappant au visage.

                                                                                    *                                             *

    En me réveillant, c'était comme si je sortais d'un agréable rêve. Sauf que j'aurai voulu y rester.

    Le garage était ravagé, et une odeur nauséabonde flottait dans l'air. Je trouva la source rapidement : le jeune était allonger à coté de moi, avec la tête complètement déchiquetée, comme si un guépard était passer par là. Le second était à mes pieds, des morceau de bois planter dans tout son corps. Je me releva en sursaut et ma première idée se fut la fuite, sauf quand j’aperçus mon reflet.

    Je savais maintenant que cette personne était différente, elle était couverte de sang. Un de ces doigt alla contre sa bouche, en signe de silence et un sourire sadique ce dessina sur ces lèvre. Ou bien les miennes.

    Je hurla, et quand le miroir ce brisa, ce fut de même pour moi.


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  • Ces derniers temps je n'avance pas beaucoup sur l'aventure d'Alice mais surtout je suis bien absence (aussi psychologiquement que physiquement).

    je passe les minutes de mes mal de têtes à lire et à ne surtout pas être devant un écran sous peine d'une migraine démesurée ainsi que quatre heures dans le vide le plus absolu, dans ma tête bien sur car autour rien ne change et un tout petit effort me fait râler.

    Aujourd'hui je me sens un peu mieux donc j'utilise mon temps pour avancer et me divertir.

    Ces derniers temps

     


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  • Comme pour le boulevard Haussman (voir vers les premier articles) , une nouvelle photographie de mode. On voit Natalia Vodianova dans “Alice in Wonderland” prise par Annie Leibovitz pour VOGUE, un grand magasine.

    Ici Alice à l'air plus d'une reine( se qui n'est pas très conforme à l'image qu'on se fait d'une pauvre jeune fille perdu dans l'univers fou et détraquer du pay des merveilles)

    Autoritaire


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