Je ne vois pas, n'entend plus, ne touche rien. Je veux rester immobile toute ma vie, dans un silence léger, où des miraculeuses idée pourront, extraordinairement, traverser cette coquille. Peut être ne seront-elles pas si belles que je les imagines, mais beaucoup trop intenses pour que je puisse les oublier.J'aurai enfin ma place.

 Je ne ressentirais pas, ne comprendrais plus, ne serais rien. Je serais aussi vulnérable qu'un bébé à peine née, aussi insensible qu'un robot, aussi vide que le néant. Sauf que je serais heureuse ! La plus heureuse des créatures. Plus heureuse que tous !

Vous ne savez rien, absolument rien. Je ne vous demande pas de m'imiter, d'être d'accord, de me soutenir. Juste de m'écouter. Je vais vous raconter une histoire. Une qui vous changera.

"Il étais une fois, mais attention, elle sera la seule.....

"Il était une fois, dans un pays dévasté par la rancoeur et la haine, vivait des groupes de survivants, qui luttaient désespérément contre ce poison. Je vais vous parler, plus précisément d'une jeune fille, Wall, de la division 5 : celle qui n'avait pas la moindre valeur, et qui, même en changeant de camps, ne fera jamais pencher la balance. Elle était le rebut de cette société en crise.

Pourtant elle tenait à ne pas succomber à la maladie, celle qui vous éteigne à tout jamais le sourire, celle dont les anciens parle comme ravageuse, celle dont tous le monde est ravagé. Celle dont Wall tentait d'échapper à tout prix. Car elle avait la foi. La foi en tout ce qui vie. La foi en ce monde en ruines.

Je vais vous raconter l'histoire d'un déchet qui avait de l'espoir, mais attention, elle sera peut être seule...."

-petit récit pour introduire l'histoire qui va suivre-

 " Comme tout les jours,Wall regardais, devant elle. "Qu'a-t-il d'autre à contempler ?" S'était-elle demander un jour. Le passé n'existe plus et le présent n'est pas plaisant. Pourtant Wall aimait se rappeler de l'époque où le ciel n'était pas fait de terre. Car, pour survivre, ils avaient du disparaître dans les montagnes, et se faire oublier. Mais quand les provisions viennent à manqué, on autorisa la division 5 et 4 à sortir, sous cette épidémie, dépouiller les villages du coin. Wall y participait rarement, prenant sur elle pour ne pas démolir cette prison.

"Et si le monde s'éteignait pendant que je rêvassait tranquillement ?" Elle se leva furieuse. Elle savait pertinemment que le monde se meurt, mais périr entre ces quatre murs à cause d'un gisement de terrains ou d'une explosions mal calculée l'a mettait en dehors d'elle. Cette nuit elle sera dans la marche. Pourtant elle savait très bien pourquoi on n'envoyais que ces deux groupes. Un sourire mauvais apparut quelques secondes sur son visage. Elle ne voulait pas risquer sa vie pour d'autres. Pas qu'elle se considère plus importante mais elle avait un objectif, par rapport aux autres qui fuyaient la réalité. Elle savait se qu'elle voulait, elle l'avait toujours sut. Même avant le cataclysme.

Wall attrapa sa veste et son fusil, puis tourna le dos à son raisonnement.

Je vais vous raconter l'histoire d'une bataille acharnée contre le dénouement d'une société, mais attention, elle sera surement la seule,..."

-Oui Wall ne ressemble pas vraiment à ce que j'avais souhaité au départ, car j'ai rajouté de la haine à son visage angélique, une haine que j'espère modérer pour la suite...-

" Elle étais là. Dans un angle de la pièce principal, celle où tous se réunissent pour manger et discuter.  Personne ne la voyait, logique puisqu' ils avaient assez de problèmes à eux tout seul pour s'intéresser à une gamine, qui en plus avait perdu la raison. Recroqueviller dans un coin, couverte de terre, on la confondait avec le décor. Elle ne pleurait pas, n'était pas en colère. Juste vide d'émotions.

Elle ne voyais pas se qui se passait et les paroles était, pour elle, un bruit de fond qu'émettait un disque. Sauf quand se fit son tour.

- Wallian Hollywand ?

elle ouvrit les yeux et remarqua qu'elle se trouvait, malencontreusement, dans une réunion des chefs des divisons. Ainsi son esprit se remit en marche et elle se demanda :"Serais-ce mieux de partir et de risquer de se faire remarquer ou d'écouter ?"  Elle avait préféré rester sachant que ces supérieurs n'aurait jamais approuvé.

- Hum..., avait déclaré Charles Destué de la division 3, je ne sais pas trop quoi penser.

Elle le fixai avec curiosité. Cette homme ressemblait plus à un fantôme qu'un humain. Il avait les cheveux blanc de vieillesse, des yeux noir et des rides qui disparaissaient sur son teint blafard, comme si il n'avait pas vu le soleil depuis un mois. Ce qui était vrai. Elle lui trouva un air de son grand père imaginaire. L'image qu'elle c'était crée de lui car le vrai malotrue avait disparut bien avant sa naissance.

Puis Dimitri Gal, prit la parole. Elle l'avait rencontré le premier jour de son arrivée, il avait été devant le portail. Elle ne se tenait pas mieux qu'aujourd'hui. Peut être pire. Elle n'avait été vêtu que d'une robe de chambre et avait tenu un chandelier dans les mains. Celui qui c'était autrefois trouver sur sa cheminer. Celui avec lequel elle avait frapper un chien enrager. Celui avait lequel elle avait menacer Dimitri. Celui qui avait fini par terre.

Dimitri l'avait pris dans ces bras, comme un père avec ses filles. Alors elle avait laissé coulé ses larmes jusqu'à que celui-ci lui ouvre la voie.

Quelques jours après elle était retombée dans sa folie passagère.

- Elle ne tiendra une semaine de plus, proposez lui d'aller à la marche.

Je vais vous raconter l'histoire d'une jeune fille qui se brisa puis coula, mais attention, elle sera seule...

 "Chassant ces funestes souvenirs, Wall revient à la réalité. Le froid l'enveloppa soudainement et elle se frictionna vivement ces mains. Elle se trouvait dans un rang, collé les uns contre les autres, qui avançait doucement sous un pas régulier, tout cela recours de neige. Auparavant, elle aurait adorer ce paysage d'hivers, celui qu'elle rêvait pour Noël afin de créer quelques bonhommes aux nez de carottes. Mais Wall ne voyait plus que du dégoût dans cette masse blanche, gelée, qui vous prendrais à la vie si vous oserez vous amusez trop longtemps avec elle. Elle devait être forte, elle était dans la marche.

Si elle n'avait pas repris ces esprit le jour de la réunion, se serait-elle jeté sur les chefs des divisions, afin de leurs faire perdre l'affreux sourire qui recouvrait chacun de leurs visages ? Non, elle avait préféré enterez sa haine dans son coeur, pour durcir de l'intérieur, pour surmonter se nouveau monde incompréhensible, pour trouver enfin un but qui la maintienne en vie. 

"Mais qu'en sera-t-il le prix ?" pensait-elle tendis que ces bottes s'enfonçait dans la boue glacée.

Alors quelqu'un cria près de Wall, et pris de spasmes insensé, la bouscula. 

- Il sont là !! Fuyez !! hurlait-il en courant dans le sens inverse de notre marche.

Tandis que Wall tentait de se relever, des personnes vêtus d'une cape blanche apparurent au loin, et s'avancèrent vers le groupe. Alors se fit la folie, tout le monde fuyait, criait, s'écrasait et disparaissait dans le froid de l'hiver. Elle redevient une fillette apeurée, qui se serait bien caché derrière sa mère.  "Je vais mourir, si je reste ici "pensait-elle, même si elle ne savait pas réellement d'où venait le danger. Elle attrapa une main d'une vieille femme, se hissa sur ses pieds et suivit le groupe.                         Se fut le deuxième jours où elle courut le plus vite de sa vie.

Je vais vous raconter l'histoire d'une petite fille qui cherchait désespérément la vie, elle ne sera plus seul....."

"Je vais y arriver. Je vais leur échapper. Je vais m'en tirer." A présent, Wall était assez forte pour croire réellement à ses pensées. Elle avait le pouvoir de s'en sortir. Elle avait l'ardeur de vivre. Avec une poussée d’adrénaline, elle pris une impulsion et sauta par dessus un haut tas de neige. Elle se permit de jeter un coup d’œil à ses arrières et ne perçut personne. Pourtant elle n'était pas sortit d'affaire : tout le monde pouvait la retrouver facilement juste en suivant ses traces de pas. En se mordant furieusement sa lèvre inférieure, qui devenait sèchement glacée, elle continua à courir dans ce tourbillon de flocons.  

Après trente minutes de course, gelée, Wall se réfugia dans un ancien village déserté perdu dans le désert de blancheur. Entrant dans la première maison, elle cassa un tabouret de bois et alluma un feu avec quelques allumettes qui traînait près la cheminée. Enfin, elle souffla et se mit à réfléchir à la manière de s'en sortir. Rentrée à la base ? Bien sûr si elle savait le chemin prendre. Rester ici à attendre.....qui ? Des secours ? Cela n'existe plus depuis longtemps. Le monde est devenu lâche et orgueilleux. Elle meurtrièrement blessé.                                                                                         Alors que habituellement elle aurait donner des coups de pieds rageurs dans les meubles, elle se contenta de s'arracher quelques mèche de cheveux. "Que m'arrive-t-il ? Pourquoi je perd espoir tout à coup ? Serais-je devenu réaliste ?" Elle laissa échapper un rire rauque et se recroquevilla tant bien que mal dans une couverture.  

Je vais vous raconter l'histoire d'une jeune enfant déboussolée, mais attention, elle sera toute seule.....

-Wall est maintenant bien différente que celle du début.....-