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On attache les oiseaux
Ricanez, ricanez, chères pies,
Vous ne serez jamais plus qu'un simple bruit,
Un écho derrière mon armure,
Celle qui résiste à vos griffures.
J'aurais détesté être comme vous,
De vulgaires hiboux.
Je ne me crois pas indispensable,
ni même désirable,
peut être agréable ?
Un peu méfiable.
On ne me ment pas,
Jamais à moi.
Alors si vous voulez garder vos têtes,
Courrez fillettes !
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Commentaires
C'est sûr qu'il est mieux que le haiku...car je trouve cela plus facile de faire autant de vers que je désire.
On a plus de liberté donc c'est vrai que c'est plus facile, mais ça reste difficile tout de même.
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J'adore les métaphores que tu as utilisé. :']
L'idée générale du "poème" est très bien pensé, avec les comparaisons et les figures de style. Bref j'aime beaucoup !