• Quand les pétales de cerisier chute de leurs tiges pour s’étaler, tel un tapis, sur la froide verdure, c’est à ce moment que vraiment elles éclosent. Leurs rosâtres pétales tourbillonnent, se détachent et valsent en concert avec la brise. L’arbre, légèrement démunis de sa parure fleuris semble toujours aussi fière parce qu’il sait que bientôt il donnera naissance à de juteux fruits. Malgré qu’on lui dérobe avidement ses rubis il ne plie point car éternellement de rose et de rouge il sera parsemé.

    Et même si ces feuilles, de teintes chaudes, se composent on ne le voit que plus beau. Comme un soleil immobile que tous souhaite contempler dans son jardin. Lui-même tente d’emprisonner dans ses branches cet éclat en s’élançant vers le vaste ciel. Et si ses efforts sont vains il ne se décourage pas. Bientôt proche de son but, il sait qu’il ne faut languir. L’espoir le fait tenir à la vertical et c’est lui seul qui le guide à travers les saisons, à travers les intempéries, à travers la vie.  


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  • Juste une chose : regarder la bande annonce en entier. (pour me faire plaisir ^^)


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  • Un est égale à un. Vous le savez, nous le savons. Nous apprenons depuis notre plus petite enfance, c'est devenu notre règle primordiale. Indiscutable, n'est pas ? Pourtant, c'est assez étrange, mais cette formalité ne s'applique pas à une catégorie, d'une façon très subtile. Dont on ne se rend compte pas systématiquement. Il faut un déclic. Quelque chose de fort qui fasse presser la détente. Vous ne voyez pas ? Toujours pas le problème ? Un est égale à un. Un homme est égale à un cheval. Un homme n'est pas égale à deux agneaux. Un homme n'est pas supérieur à cinq escargots. Un homme est inférieur à neuf oiseaux.


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